Nous pouvons nous permettre de livrer rapidement nos couettes en laine, car nos couvertures piquées, contrairement à l’art minutieux du boutis, sont réalisées avec une machine à coudre dédiée : LA SAUTERELLE. Présentation de notre machine à coudre un peu spéciale.
Une machine à coudre de musée
D’où vient ce nom étrange de sauterelle, étonnant pour une machine à coudre ? Rien à voir avec la Grasshoper, qui signifie sauterelle en anglais. Fabriquées vers 1940 par l’entreprise Tarvaro SA à Genève, pour la marque suisse ELNA, ces machines à coudre résistantes s’étaient fait une place salvatrice dans les foyers pendant la guerre de 39-45 et la reconstruction de l’après-guerre.
Notre sauterelle à nous est une machine industrielle, et beaucoup plus rare. C’est pour ainsi dire une pièce de musée. Elle a été fabriquée par l’établissement Beyroux, à Paris. D’autres machines de ce fabricant servaient dans les années 1889, à coudre des voiles de bateaux. Celle que nous utilisons date de 1930. Sur la notice d’utilisation, il est écrit “Nouvelles machines brevetées à piquer les couvre-pieds, édredons, etc. – type Sauterelle ou éléphant.” Elle appartient à la catégorie des machines mobiles. Voyons de plus près son fonctionnement.
La sauterelle : une machine à coudre XXL
Grande maniabilité du bras pour coudre des motifs
Matelassage des couettes en laine et en plume d’oie
Le matelassage n’est pas seulement esthétique : il permet de maintenir et de répartir la matière isolante, nappe de laine cardée ou duvet d’oie, dans des zones bien délimitées pour que la répartition soit homogène. C’est ainsi que la couverture restera chaude partout dans la durée.
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